mercredi 12 octobre 2011

Himalaya

L'Himalaya
Arrivé à Pokhara, nous admirons le lac bien sure, les montagnes restent cachées pour l'instant, juste quelques clin d'oeuil le matin.

Une petite ville sympatique divisée en 2. La ville et le «lac side», pour les touristes. On peut voir ce que font les gents. Hotel, resto, des achats (montagne et cartes postales), un tour en barque sur le lac et les bars pour tous les gouts musiquaux. Plus animé que la capitale. Nous avons les mêmes aspirations que la pluparts des visiteurs. Des guides de trek, du kayak, du parapante... Génial, quoi que un peu faux.


Nous découvrons les bus de cross. 5 heures pour 100 km, sur des chemins cabossés avec une belle rivière en bas, très bas. Nous retrouvons notre guide, Sujan. Et un autre népalais, peut être guide?
Début dans la jungle, les champs de riz toujours aussi lumineux ! Nous somme entouré de collines comme ils disent. Se sont les montagnes inférieures à 5000 m!


Nous voulions toujours nous baigner, finalement se sera un bain habillé dans la brume de la cascade qui s'écrase sur une roche. L'eau est trop froide le soir.


Nous suivons la rivière ce qui nous permet de jouer sur les nombreux ponts suspendu. 1500 m c'est le début des forets tempérées, l'automne est là, juste le début, c'est magnifique. Des cedres, des érables et des vieux bouleaux à l'écorce épaises travaillées par le temps.

Sa fait toujours plein de bruit les gamins!^^

Mouchoir 100% naturel, biodégradable, made in Himalaya.




L'envole des âmes vers le ciel! Une croyance du peuple des montagnes. 1500 m de dénivelé, impressionante roche pelée.
Vallée de Manang. Il y pleu très rarement, les conifère sont rouge de sécheresse.

Pisang.



Nos premières vues. Le ciel ce dégage enfin aprè 3 jours, laissant paraitre ses merveilles. Des sommets si haut qui donnent seulement à moitier envie de les grimper.



Partout nous trouvons les «modé», moulins à prière tibétain.
Contrairement aux montagnes les chèvres sont naines ici. Très mignonnes. Il n'y a rien à manger, mais elles trouvent tout de même.


Le glacier. A priori on ne peut pas y aller d'après le guide. Nous projetons quand même de lui rendre une petite visite.

Manang. Ville de passage depuis longtemps. C'est une encienne route marchande entre l'Inde et la Chine en passant par le Tibet. Nous y restons deux jours pour nous aclimater à l'altitude, 3500 m. Remède contre d'altitude : boire et pisser! Environ 5 L par jour. On à le droit à un petit cour sur toutes les problèmes de la haute altitude qui nous fait réaliser qu'on est pas dans les pyrénées.


C'est beau!!!




Manang et ses terrasses en contre-bas. La montagne désertique est sculptée par les eaux. Pas besoin d'aller au centre de la Turquie!

Début de l'éxpédition pour le glacier. Nous prenons les sentiers d'animaux. Passages un peu tendus. Sortie du sentier principal nous tombons sur des «isards, bouquetins...». Ça fait du bien!



Le glacier vu de prés. C'est lunaire. Ça craque de partout. Nous le touchons avec précautions. Sujan nous avait dit de ne pas aller en dessous. En effet, une fois partie on entend un énorme crack suivi d'un coup de tonnere. Un morceau c'est détaché.



Beurre de cacahouette nous accompagne sur tout le treck pour combler le manque de sucre et de graisse du dalbath.

On croise souvent des porteurs sur le chemin. Certains avec des bottes de paille de 100 kg, nos sacs nous semblent bien légers!
Les mules et les porteurs nous portent la nourriture jusqu'au sommet! C'est cool, merci les mecs!


Une vache bizard ! A partir de 4000 m nous croisons nos premiers Yaks, la bête des montagnes.

L'américain typique! Indi nous joue de l'harmonica.




Partie pour une petite marche tranquille, nous somme fatigué après la marche du matin. Mais le sommet nous appel, nous grimpons raide, les guides lachent assez vite, super!


Et on continue la grimpette.

Arrivé au sommet, nous ne le trouvons pas, nous somme sur la colone vertebrale d'un dragon. Nous avons semi-escalader pour ateindre la crète pensant trouver un chemain plus facile de l'autre côté pour redescendre mais nous tombons sur une falaise. Descente sur les fesses, à moitier en glissade.

La vue d'en haut.
Nous jouons aux cartes pour occuper les soirées. Le guide nous aprend le «call break» un jeu d'argent népalais, auquel nous prennons vite gout. C'est très vite nous qui les plumons!!!


4700 m, nous partons à 5 h pour le col. Une journée difficile. Nous haletons sur des chemins normale en marchant comme des papis. Nous croisons de plus en plus de personnes qui ont pris un cheval pour passer le col.


Sujan en mode super guide, un jolie cache nez à la crème.







Photo au sommet, tout contand. Il pèle grave. Deux Israeliens font la photo à poil, alors que nous avons tous nos habits sur nous.


L'équipe au complet, à 5416 m, de droite à gauche : Shanka (le pseudo «guide» qui est un touriste népalais. Plutot chiant, il est très lent. Presque à l'abandons à quelques mètres du col) Indi, Texas, Xav, Sim et Sujan notre guide agriculteur.

De l'autre côté du col, on passe dans une vallée désertique. Un parfait exemple de l'effet d'abris (reférence à la sortie Pyrénnées du master d'éco). Descente de 1600 m pour Bouktinath.




Les Jambes cassées nous n'yrons pas faire un tour dans le désert. On reste tranquil dans cette oasis, un petit hotel parfait avec une superbe vue.




Au dessus de xavier une jolie plante! Le cannabis pousse comme une mauvaise herbe. On en trouve partout le long des chemins. Indi en à une bonne poche, toutes les variétées.

Le sarrasin d'ici.







Traversée du désert.


Un vieux fossile!


Nous découvrons l'adresse du blog sur un mur de sable! Étrange, somme nous donc si connus ?!?

Simon en homme du désert.

Un vent terrible de face nous accompagne sur toute la traversée. Le sable nous vol dans la figure.
Le burger Népalais! Déconseillé.



Village du désert. Une vie difficile. Arrivé au resto, on est bien crevé par le vent.
Tadaaaaa!!!

Marpha. Le village de la pomme. Dans un style tibétain, avec son temple au sommet. Nous prennons le meilleur aplebrandy (un des rares alcools correcte du pays).

Piscine à bufalo. Nous revenons dans un pays vivable. La forêt nous entoure.

La plus grosse cascade du treck, dans la plus grosse gorge du monde (selon les népalais), qu'on ne voit que du ciel. C'est con, on à pas d'avion.

Jolie village, juste repaint pour le «festivale» dont ne sait plus quoi. Encore un.

La sieste typique après le dalbath du midi.




Petit apéro caché dans la chambre de l'hotel. Avec la fatigue de la journée, l'altitude... l'aple brandy fait vite effet !
Note : les soupes chinoises crues en appéritif, une très bonne idée.
Procéssion religieuse à 4h30 du mat, avec comme bougie les lampes frontales, pour se rendre à ponhill. Une espèce de collinne blindée de monde, l'atraction touristique de l'Himalaya. On se croirais sous la tour Eiffel, une horreur malgrés la jolie vue.




Traversée des forêts de rhododendrons.




Le poulet sauvage, bien seccoué avant d'arriver dans l'assiette.

Déscente des 4000 marches pour rejoindre la vallée. 1600 m de déscente ça tue les genoux!

Désolé, encore une photo de rizière, on aime trop ça.

Enfin une bonne baignade. C'est un peu machine à laver. L'eau est super bonne, pour la montagne.


Retour à Pokhara, nous pouvons enfin manger autre chose que du dalbath. Les pates d'ici, le chowmein. Trop bon pour 30 centimes

Repos.